Explication du Concordat de Paris

Publié le par Aaron

Aux peuples et aux nations,
A l'universalité des fidèles.


Rédigé sous l’égide du collège des cardinaux de la Sainte
Eglise et des pairs du Royaume de France, le Concordat de
Paris est un traité sacré visant à rapprocher le Royaume des
Lys du Saint-Siège afin à promouvoir la Seule, Vraie et
Unique Foi dont la Sainte Eglise Aristotélicienne et
Romaine est seule détentrice et gardienne.

Devant l’égarement et les interprétations de certains qui
visent à détourner le vrai message du concordat de Paris à
des fins politique, il était primordial de mettre au clair et
d’analyser ce document afin de faire savoir à tous le
contenu réel et applicable de celui-ci.

Le concordat de Paris, dans ses clauses restrictives, n’est
applicable que sur le territoire du domaine royal, c’est à
dire, les duchés d’Alençon, de Champagne, de Normandie
et d’Orléans, ainsi que le comté du Maine. De ce fait, les
articles généraux concernant l’aristotélisme sont applicables
à l’ensemble du royaume, l’aristotélisme du Roi en étant un
exemple ; il est roi de droit divin autant dans le domaine
royal que dans son royaume.

Le concordat de Paris est donc d’application dans
l’ensemble du domaine royal sans qu’aucune loi régionale
ne puissent aller à l’encontre d’un des articles. A l’inverse,
le concordat n’est d’application dans le Royaume que par
ses articles généraux, comme l’aristotélisme du roi et des
fonctionnaires royaux, le privilège de clergie, la
reconnaissance des vidameries, des mariages, du calendrier
aristotélicien , …

Les comtés hors du domaine royal ont donc la pleine liberté
de régir comme ils l’entendent le domaine spirituel.
Toutefois ils ne peuvent aller à l’encontre des articles cités
ci-avant et qui constituent le fondement même de l’Etat, au
risque de commettre le crime de lèse-majesté. Libre à eux
de négocier un concordat spécifique avec l’Eglise
Aristotélicienne, de légiférer sur la liberté de culte, sur
l’exercice judiciaire de l’Eglise, …


La seule interprétation correcte est celle de l’Eglise et de la
Pairie qui ont négocié et écrit ce concordat de Paris. Ceux
qui prétendent avoir une analyse plus juste et plus correcte
ne sont qu’agitateur et trompeur vaniteux, dont le seul but
est d’accéder au pouvoir. D’ailleurs, nous avons souvent vu
que ce type de contestataire, dès leur arrivée dans les hautes
sphères du pouvoir, s’empressaient de dénoncer, annuler et
abroger tous les traités pouvant, d’une façon ou d’une autre,
entamer leur autorité qu’ils voulaient absolue. L’Eglise,
gardienne de la Foi, se trouvant la plupart du temps sur leur
chemin, est celle qui subit le plus généralement les premiers
affronts…


Bénédiction Apostolique.




Aaron de Nagan
Cardinal-Archevêque de Reims
Chancelier de la Nonciature Apostolique





Le XXVII décembre de l'an de grâce MCDLV

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